Clariana de comunicació

 Nadia Lamhaidi

 Tel Quel, 14 Novembre. Moroc.

pour le Résseau Méditerranée de Journalistes et Communicatrices avec la Visión de Genre

Après l’égalité dans le couple, quelques associations féminines se proposent de combattre l’égalité dans le cadre de l’héritage. Dans la réalité, des abus rendent cet ajustement nécessaire. Mais les représentants de l’orthodoxie s’opposent. ET la bataille ne fait pas plus que commencer.
Taboue jusqu’à présent, la question de l’héritage, induisant une division non équitable entre des enfants de sexes opposés, sera abordé publiquement pour la première fois au Maroc dans les prochaines semaines. Des associations féminines se proposent d’être attaquées pour qu’y compris certains 
des militants de l’égalité entre les deux sexes considéraient comme inattaquable. L’essai, bien que le Moudawana dernière version ait introduit des concepts tellement fondamentaux et révolutionnaires que l’égalité entre des conjoints, n’a été abordée absolument l’aspect relatif à l’héritage. Excepté en ce qui concerne « les héritages obligatoire ». Cette semiréforme, exceptionnelle en elle, se réfère à l’article 377 du Code de la famille. Dans le troisième paragraphe, on indique que « la famille à la garde de l’ensemble des équipements comptabilisés par le liquidateur jusqu’à ce que la livraison dans le cadre de l’héritage ait lieu. La famille a aussi à charge de maintenir de ces biens ». Une première infraction est ouverte.